"Louise Michel et les enfants de Nouméa" par Boris Talsitzky...

un certain balkany

maire de levallois perret

n'a pas jugé bon

d'imaginer la sauvegarde

de cinq panneaux en béton gravés sur le thème de "louise michel et les enfants de nouméa"

par l'artiste peintre plasticien boris taslitsky

sur le bâti d'une crèche aujourd'hui destinée à la destruction

dans le cadre de sa politique municipale

(pour les nuances vous vous informerez)

suite à l'annonce de destruction vissée à même l'un des panneaux par les services diligentés

des citoyens de levallois perret qui ont encore l'esprit en alerte

ont fait en sorte de ne pas laisser faire

plusieurs journaux s'en sont fait écho

vous pourrez trouver ces articles

c'est ainsi que j'ai pu prendre connaissance de la pétition toujours en cours

initiée par evelyne taslitzky fille du peintre

protestant et suggérant des solutions pour sauvegarder l'oeuvre

et que je vous invite à lire et à signer

(http://www.petitions24.net/sauvegarder_les_uvres_de_boris_taslitzky_a_levallois-perret...clic...)

après avoir pris connaissance du site dédié à boris talsitzky

(http://boris-taslitzky.fr/films-videos/video-l-atelier-de-boris/atelier-de-boris.htmsite...clic...)

pourquoi pas après avoir lu l'article sur wikipedia dédié à louise michel

(https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Michel...clic...)

 voir aussi "louise michel rouge fleur de germinal" article de jerôme skalski

sur l'huma...clic...

même si le sieur balkany fait promesse depuis de préserver l'oeuvre

connaissant le personnage mis en cause dans de nombreux dossiers de justice

il serait raisonnable d'exercer notre vigilance citoyenne

cette histoire à suivre

m'inspire l'idée qu'un peu plus de culture pourrait

nous réveiller et entretenir

notre indépendance du champ

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Hirondelle

Hirondelle qui vient de la nuit orageuse,
Hirondelle fidèle, où vas-tu ? dis-le-moi.
Quelle brise t'emporte, errante voyageuse ?
Écoute, je voudrais m'en aller avec toi,
Bien loin, bien loin d'ici, vers d'immenses rivages,
Vers de grands rochers nus, des grèves, des déserts,
Dans l'inconnu muet, ou bien vers d'autres âges,
Vers les astres errants qui roulent dans les airs.
Ah ! laisse-moi pleurer, pleurer, quand de tes ailes
Tu rases l'herbe verte et qu'aux profonds concerts
Des forêts et des vents tu réponds des tourelles,
Avec ta rauque voix, mon doux oiseau des mers.
Hirondelle aux yeux noirs, hirondelle, je t'aime !
Je ne sais quel écho par toi m'est apporté
Des rivages lointains ; pour vivre, loi suprême,
Il me faut, comme à toi, l'air et la liberté.

Louise Michel

sur http://www.francopolis.net/Vie-Poete/louisemichel.htm...clic...

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"le temps des cerises" par coluche

andrée wizem